Wednesday, November 13, 2024
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À l’arrivée de Jean Jacques Dessalines au Cap-Haïtien, il n’y avait que quelques…

À l’arrivée de Jean Jacques Dessalines au Cap-Haïtien, il n’y avait que quelques incidents violents isolés à travers la ville. Cependant à son arrivée, les choses changèrent de façons radicales.
À la fin du mois d’avril 1804, 3 000 à 5 000 personnes avaient été tuées, ce qui signifie que les Blancs avaient pratiquement été éradiqués. Seuls trois groupes de Blancs — en dehors des étrangers — avaient été désignés comme devant être traités à part et épargnés : les soldats polonais qui avaient déserté de l’armée française, le petit groupe de colons allemands invités à s’installer dans le nord-ouest d’Haïti avant la révolution, et un groupe de médecins ou autres personnes qualifiées. Certains habitants ayant eu des liens avec des officiers de l’armée haïtienne auraient aussi été épargnées, de même que les femmes qui acceptaient d’épouser des hommes de couleur.

When Jean Jacques Dessalines arrived in Cap-Haïtien, there were only isolated violent incidents throughout the city. However, when he arrived, things changed dramatically.

By the end of April 1804, 3,000 to 5,000 people had been killed, which means that Whites had virtually been eradicated. Only three groups of whites – apart from foreigners – had been designated as being to be treated separately and spared: the Polish soldiers who had deserted from the French army, the small group of German settlers invited to settle in the north. west of Haiti before the revolution, and a group of doctors or other qualified people. Some residents who had links with officers of the Haitian army were also spared, as well as women who agreed to marry men of color.

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